Le Togo mise sur
une politique active à quatre temps pour accélérer le développement .Cette
politique dont les axes prioritaires sont destinés à améliorer les conditions
de vie des populations suit son cours avec une célérité à
aucun autre pareil. Plusieurs garde-fous sont mis en branle avec
un accent mis sur la conscientisation des uns et des
autres. Cette propension audacieuse se veut à terme de faire du Togo un
pays de référence. Une politique clairement exprimée
par le gouvernement Dogbé qui veut imprimer une marque et régenter
une norme. Visiblement une rupture avec les idées reçues semble être l'axe majeur de cet idéal qui donne déjà des
gages d'un lendemain meilleur.
Premièrement, « le renforcement des capacités à la
base » qui a permis à 1 535 villages ou quartiers de villes de
disposer de plans d’actions et à 1 650 communautés de bénéficier de
financements de leurs microprojets ; de restructurer au moins 5 530
Communautés de développement à la base (CDB) et 8 616 Groupements
d’intérêt économique (GIE). La « valorisation des potentialités
productives » a permis d’installer 302 unités de transformation des produits
agricoles et de réaliser 1 344 microprojets.
En ce qui concerne la « promotion des infrastructures de
base », plus de 2 605 infrastructures sociocommunautaires de base (salles
de classes, d’unités de soins périphériques, de forages, de hangars de marché, etc.)
ont été réalisées. Enfin, la composante « promotion des filets
sociaux » a permis d’octroyer des transferts monétaires à 30 000 femmes,
de créer plus de 27 000 emplois temporaires ; de servir 29 millions de
repas chauds dans 305 écoles. 92 milliards de francs CFA ont été déboursés
pour mettre en œuvre la PNDB de 2012 à 2017.
Togo/ La valorisation des potentialités productives pour booster le développement
