L’artiste de la chanson
togolaise, Midodji Amoussou connu sous le nom de Papson Moutité est victime depuis le début de ce mois d’un
acharnement des plus acerbes devenu viral sur la toile. Cette propension nous a
amené à nous préoccuper davantage de ce dossier qui n’a pas retenu à l’entame
notre attention car nous estimons que c’est de l’habitude des togolais de créer
du spectacle là où il n’y en a pas. Parcourant un peu les écrit,les
spécialistes des réseaux sociaux lui font le procès et lui ont déjà même
trouver des motifs d’inculpation. Selon ses derniers Papson Moutité est
incarcéré le 4 avril dernier pour « viol, sodomisation, sextape » sur
des jeunes filles membres de l’ONG « Chan Mou » dont il est également
le Président. Il est de tout évidence libre de tout mouvement depuis jeudi 14
mai dernier vu son état de santé qui va de mal en pire ses dernier temps. Chose
pas étonnant puisque la mise en cause était déjà très souffrante avant ses
ennuis judiciaires. Cette « libération provisoire » assorti du
contenu d’un certificat médical qui atteste que Papson en raison de sa santé
mérite un traitement adéquat suscité une vague de colère et d’indignation sur
les réseaux sociaux. Chacun y va de son commentaire. Certains estiment que la
justice fait deux (2) poids, deux (2) mesures. D’autres y voient carrément une
main « noire » derrière qui aurait joué en sa faveur. Hors c’est une
libération sous caution tributaire d’un certificat médical,une logique
judiciaire dont son cas n’inaugure pas l’avènement. Depuis son arrestation
jusqu’à sa libération sans oublier ses moments passés aux urgences, le
Président de « Chan Mou » après
analyse et investigation de la rédaction de votre journal Vision
d’Afrique il se révèle que les vrais motifs sur cet acharnement sont à chercher
ailleurs que ce qui est devenu la tasse de thé de certain sur les réseaux
sociaux .Papson Moutité a une santé
alité ou presque ,l’homme a perdu pratiquement la locomotion puisqu’il se
déplace difficilement sur deux béquilles. Comment peut-on imaginer qu’un homme
de cet état puisse se préoccuper plus des supposés victimes que de sa santé qui
va sans cesse dégringolant.
Les faits….
A partir du moment où l’affaire est pendante devant la
justice ,il est inopportun que l’on se penche sur la culpabilité ou non de
Papson Moutité puisque chaque partie peut désormais faire valoir ses arguments
avec bien évidemment des preuves .Mais ce qui est intriguant, c’est le faite
que la population puisse croire sans preuve aux détracteurs de Papson .
Mais la goutte d’eau
qui a fait déborder le vase ces derniers temps est un pur « montage
grotesque. Selon nos investigations, une plaignante avoue être dans
l’association pour le Président et non
pour travailler. Des messages d’amour par ici, des cadeaux et repas copieux
par-là, bref tout faire dans le but de lier son âme à son patron. Mais ce sera
sans compter avec la préoccupation de Papson qui est ni plus ni moins le
travail. Peine perdue parce que malgré ses « bonnes » tentations, la
flèche de cupidon n’arrive pas à atteindre le cœur de son Président. Ce dernier
finit par découvrir l’idée cachée derrière les gestes de sa collaboratrice que
le travail pour lequel elle est appelée à faire. La jeune fille sera rappelée à
l’ordre maintes fois par son Président dès fois en présence des membres de
l’association. Ces avertissements n’auront pas d’effets sur elle. Cette
dernière, après avoir passé par tous les moyens pour séduire son Président, se
verra finalement « radiée » de l’association au cours d’un vote et
sera fessée par son président le 21 mars dernier mais continue par travailler
comme si de rien n’était jusqu’au 31 du même mois sans porter plainte .Elle
aurait même présenté une lettre d’excuse sans crier tambour battant. Entre
temps, selon notre source, elle bénéficie comme tous les autres membres de
l’association des aides venant du président de l’association. Le Patron décida
de rompre son contrat avec elle et lui demanda d’appeler sa maman afin de lui
faire part des faits et c’est en pleine réunion le 4 avril dernier, qu’il aura
la visite des corps habillés.
Durant son garde à vue l’accusé
tomba évanoui en pleine interrogatoire et ne se réveilla qu’aux urgences du CHU
Sylvanus Olympio sept (7) jours après.
Le Président de l’ONG « Chan Mou » va passer 35 jours d’enfer
aux urgences sans manger ni boire à cause de l’aggravation de la tumeur dont il
souffre et qui aurait bloquée la gorge.
Aujourd’hui, il se raconte sur
les réseaux sociaux qu’il est libéré
parce que quelqu’un aurait pesé dans la balance et qu’il aurait appelé
les « victimes pour les narguer ». Faux rétorque
« l’accusé ». .Papson Moutité est remis en liberté provisoire parce
qu’il est reconnu malade après plusieurs analyses contradictoires qui lui ont
été faites. « Il s’agit d’un patient de 38 ans avec antécédent
psychiatrique, admis aux urgences médicales puis hospitalisé au cabanon depuis
un mois pour une perte de connaissance. Il présente des troubles alimentaires
type anorexie et dysphagie, et aussi des troubles de la mobilité assistée, ceci
nécessite une prise en charge adéquate spécialisée pour prévenir d’éventuelles
complications. De tout ce qui précède, nous estimons que l’état de détention de
Monsieur AmoussouMidodji, constitue un facteur aggravant de son état de santé.
En conséquence, ce certificat lui est délivré et remis en mains propres pour
servir et valoir de ce que de droit », indique le ministère de la santé.
Ce qui prouve à suffisance que
« l’accusé » n’est pas libéré parce que quelqu’un l’aurait voulu mais
c’est à cause de son état de santé.
Dans ce dossier qui a toutes les
couleurs sauf la couleur rationnelle, sont faites à priori sur les réseaux
sociaux à l’égard de Papson MOUTITE .La justice avisera et nous édifiera de la
culpabilité ou de la victimisation de la mise en cause
C’est le Wait and see